> Trouvé sur un site d'enchères.
mardi 7 avril 2009
jeudi 2 avril 2009
samedi 13 décembre 2008
Au sujet du "carnet" de croquis d'Auteroche
> Le département des Hauts-de-Seine (92) nous donne quelques précisions sur l'histoire de ce carnet de croquis :
> Actu 92 du 03/12/08
> Actu 92 du 03/12/08
dimanche 30 novembre 2008
Une toile à Carnavalet...
> A la lecture du "Carnet de croquis" d'Auteroche... nous apprenions qu'une toile de ce peintre était à Carnavalet : nous y sommes allés... Entrée gratuite... mais salles fermées, faute de personnel - même configuration à Orsay il y a quelques mois, l'entrée est gratuite mais les salles les plus intéressantes ne sont pas visibles !!! -. Lorsque je dis "salles fermées", il serait plus juste de dire "salles inaccessibles" car, oui, il y a une petite corde qui nous empêche d'entrer mais la salle est ouverte et, de loin, entre deux portes, au fond de la deuxième salle aux murs bleu foncé, à droite, en biais, en hauteur, je reconnais, de très loin, cette toile qui est reproduite dans le "Carnet", je vous livre la photographie de cette étrange perspective... et vous donnerai une prochaine fois le titre et la description de la toile.
samedi 22 novembre 2008
Carnet de croquis du peintre A.Auteroche
> Le voici, il est arrivé !Publié par le Conseil général des Hauts-de-Seine en Août 2008.
vendredi 21 novembre 2008
Corot
"Corot, l'homme heureux par excellence. Quand il peint, heureux de peindre ; quand il ne peint pas, heureux de se reposer. Heureux de sa petite fortune, quand il n'avait pas hérité ; heureux de son héritage, quand il a hérité. Heureux de son obscurité, quand il n'était pas connu ; heureux de ses succès, - et tirant tous les mois son coup avec quelque sale modèle qui vient le voir."
Extrait du Journal des Goncourt 1855
mercredi 19 novembre 2008
Musée haut musée bas
> Aujourd'hui, mercredi 19 Novembre 2008 sort sur les écrans : "Musée haut musée bas", une comédie.
Je n'ai pas encore vu ce film mais cette sortie m'a permis de savoir que la fréquentation des musées augmentait (18% de hausse cette année). Je me pose alors la question : "Pourquoi cette hausse et que reflète-t-elle ?" Plusieurs réponses bien évidemment sont possibles et nous mettrons pèle-mêle : expositions temporaires attractives et très médiatisées, passage obligé culturel, vieillissement de la population, programmes télévisés affligeants (nous ne citerons pour exemple que cette émission dédiée au théâtre sur France 2, animée par monsieur Ruquier, qui n'était qu'un grand moment de publicité mais qui nous a permis, malgré tout, d'entendre Monsieur Michel Bouquet faire une sortie merveilleuse d'intelligence au sujet du "stand up" : " C'est l'auteur qui vient sur scène à la place de l'acteur" et de voir un Fabrice Luchini toujours enthousiasmant puisqu'enthousiasmé) ; et si depuis quelque temps, l'être humain était simplement saturer de toutes ces images mouvantes sur écran et que la vraie modernité était dans le déplacement de l'individu autour des choses et non pas l'agitation des choses devant l'individu ?
Je n'ai pas encore vu ce film mais cette sortie m'a permis de savoir que la fréquentation des musées augmentait (18% de hausse cette année). Je me pose alors la question : "Pourquoi cette hausse et que reflète-t-elle ?" Plusieurs réponses bien évidemment sont possibles et nous mettrons pèle-mêle : expositions temporaires attractives et très médiatisées, passage obligé culturel, vieillissement de la population, programmes télévisés affligeants (nous ne citerons pour exemple que cette émission dédiée au théâtre sur France 2, animée par monsieur Ruquier, qui n'était qu'un grand moment de publicité mais qui nous a permis, malgré tout, d'entendre Monsieur Michel Bouquet faire une sortie merveilleuse d'intelligence au sujet du "stand up" : " C'est l'auteur qui vient sur scène à la place de l'acteur" et de voir un Fabrice Luchini toujours enthousiasmant puisqu'enthousiasmé) ; et si depuis quelque temps, l'être humain était simplement saturer de toutes ces images mouvantes sur écran et que la vraie modernité était dans le déplacement de l'individu autour des choses et non pas l'agitation des choses devant l'individu ?
dimanche 16 novembre 2008
Courbet
Courbet (1819-1877) disait : "La peinture est un art essentiellement concret et ne peut consister que dans la représentation des choses réelles et existantes. Un objet abstrait, non visible, n'est pas du domaine de la peinture. L'imagination dans l'art consiste à savoir trouver l'expression la plus complète d'une chose existante, mais jamais de supposer ou à créer cette chose même. Le beau est dans la nature et se rencontre dans la réalité sous les formes les plus diverses. Dès qu'on l'y trouve, il appartient à l'art , où plutôt à l'artiste qui sait l'y voir..."Extrait de "Histoire de la critique d'art" de Lionello venturi
jeudi 13 novembre 2008
Peintres et pâtissiers
"Les peintres pour moi, c'est comme les pâtissiers. Les pâtissiers font des choses qui me font un plaisir extrême, mais je n'estime pas les pâtissiers."Extrait du Journal des Goncourt 1954
> Et pourtant rappelons-nous du voyage en Italie (1855) durant lequel Edmond lui-même pense que son frère a "un incontestable talent de peintre"... et on ne peut pas soupçonner Edmond de ne pas estimer son frère... (Les croquis de Jules sont actuellement au cabinet des estampes du Louvre).
mercredi 12 novembre 2008
Charles Jacque
" Nous partons en septembre avec Leroy, le graveur, et sa femme pour les bains de mer et nous nous établissons à Veules. (...) Leroy a choisi un chemin creux pour un tableau et nous y passons une partie des journées à côté de ce peintre en lunettes bleues, qu'il est obligé de porter par suite des fatigues de la gravure. (...) Là, il causait de Jacque et de Millet ses amis. "Extrait du Journal des Goncourt 1853.
> Charles Jacque est un graveur et un peintre animalier (1813-1894) ami de Jean-François Millet.
mardi 11 novembre 2008
Au Musée
" Au Musée, il y a trois lignes : les gens qui regardent les tableaux, les gens qui regardent les poches des gens qui regardent les tableaux et les gens qui regardent les mains des gens qui regardent les poches des gens qui regardent les tableaux. "
> Les temps ont changés, les trois rangées ont disparues et il ne reste, pour les expositions temporaires courues, qu'une longue file d'attente qui s'étiole jusque sur les trottoirs. Heureux hommes, vous, qui pourrez entrer dans cette atmosphère viciée où l'oxygène raréfiée livre combat à la lumière factice d'un jour finissant !
Extrait du Journal des Goncourt 1852.
> Les temps ont changés, les trois rangées ont disparues et il ne reste, pour les expositions temporaires courues, qu'une longue file d'attente qui s'étiole jusque sur les trottoirs. Heureux hommes, vous, qui pourrez entrer dans cette atmosphère viciée où l'oxygène raréfiée livre combat à la lumière factice d'un jour finissant !
dimanche 9 novembre 2008
Une des pensées de Flaubert sur l'art
Gustave Flaubert écrivait : " Chacun des arts a sa lèpre particulière, son ignominie mortelle qui lui ronge le visage. La peinture a le portrait de famille, la musique a la romance, la littérature a le critique et l'architecture a l'architecte." (Extrait de "Gustave Flaubert en verve")
... Alfred Auteroche n'était pas portraitiste...
... Alfred Auteroche n'était pas portraitiste...
vendredi 7 novembre 2008
mercredi 5 novembre 2008
Publication du carnet de souvenir
>Le carnet de croquis de notre peintre Alfred Auteroche vient d'être publié, il y a un mois, par le Conseil général des Hauts-de-Seine, nous pourrons donc, une fois l'ouvrage en main, en savoir plus...
>Si les frères Goncourt décrivaient dans Manette un salon bruyant et vivant, une description de Castagnary nous permet de revivre une toute autre ambiance :
"Les gardiens, qui n'avaient jamais vu le désert qu'en peinture, sont tout étonnés de le voir en réalité autour d'eux. Les tableaux et les statues se lamentent d'une solitude à laquelle ils ne sont pas habitués en France. C'est à peine si, de temps à autre, on rencontre quelque promeneur incertain de ses pas, cherchant vainement de l'œil les groupes qui, les années auparavant, lui désignaient en toute sûreté les toiles en renom." Extrait de "Les salons au XIXe siècle" de D.Lobstein
>Si les frères Goncourt décrivaient dans Manette un salon bruyant et vivant, une description de Castagnary nous permet de revivre une toute autre ambiance :
"Les gardiens, qui n'avaient jamais vu le désert qu'en peinture, sont tout étonnés de le voir en réalité autour d'eux. Les tableaux et les statues se lamentent d'une solitude à laquelle ils ne sont pas habitués en France. C'est à peine si, de temps à autre, on rencontre quelque promeneur incertain de ses pas, cherchant vainement de l'œil les groupes qui, les années auparavant, lui désignaient en toute sûreté les toiles en renom." Extrait de "Les salons au XIXe siècle" de D.Lobstein
mardi 4 novembre 2008
Les oeuvres retrouvées à ce jour
"Le sentier des ânes" huile sur toile de 1965
"Le port" huile sur toile (dernière vente le 19 Août 1993)
"Paris, Montmartre" (dernière vente le 14 Juin 1991)
"Animaux en pâturage et traite du lait" huile sur toile de 1872 conservé au Musée de Saint-Brieuc
>à vérifier
"Un étang" huile sur bois, conservé jusqu'en 1940 ou 1944, au musée de Mulhouse, aujourd'hui disparu.
"Ung pige ved et hlgn n+r frnask landsbykinke" de 1877 (vendu le 5 septembre 1995)
> titre énigmatique trouvé sur internet
"Tête de cheval" Dessin à l'encre de chine (vu en vente en septembre 2008)
"Pêche à pieds" (vendu en 2007)
"Chevaux en bord de mer" huile sur toile 1965
"Le port" huile sur toile (dernière vente le 19 Août 1993)
"Paris, Montmartre" (dernière vente le 14 Juin 1991)
"Animaux en pâturage et traite du lait" huile sur toile de 1872 conservé au Musée de Saint-Brieuc
>à vérifier
"Un étang" huile sur bois, conservé jusqu'en 1940 ou 1944, au musée de Mulhouse, aujourd'hui disparu.
"Ung pige ved et hlgn n+r frnask landsbykinke" de 1877 (vendu le 5 septembre 1995)
> titre énigmatique trouvé sur internet
"Tête de cheval" Dessin à l'encre de chine (vu en vente en septembre 2008)
"Pêche à pieds" (vendu en 2007)
"Chevaux en bord de mer" huile sur toile 1965
lundi 3 novembre 2008
Le tableau du musée de Mulhouse
> Il faut toujours vérifier ses sources et ne pas croire systématiquement ce qui est écrit dans les dictionnaires des peintres et dictionnaires de leurs œuvres.En effet, après vérification auprès du conservateur du musée de Mulhouse, le tableau d'Alfred Auteroche intitulé "Un étang" (huile sur bois) ne fait plus partie des collections du musée depuis la guerre : "Sans doute a-t-il été détruit lors de l'explosion de 1940 ou du bombardement de 1944".
Ou peut-être, et c'est aussi une hypothèse, que ce tableau aurait été volé durant des temps troublés quels qu'ils soient...à suivre...
Selon Mathieu Roy :
"Le bombardement sur Mulhouse se déroula de 15h45 à 15h50 le 11 Mai 1944 et toucha les axes ferroviaires, le canal Rhône au Rhin, la Poste centrale, l'hôpital, la gare du centre-ville, le centre ville, les ateliers de réparation ferroviaire et la gare de Wanne et, pour finir, l'île Napoléon".
Selon le site Musée historique de Mulhouse :
"Le musée des beaux-arts est un rêve que caressent les industriels mulhousiens, à la recherche de bons modèles pour leurs dessinateurs, pendant tout le XIXe siècle. Ils en posent les fondements en 1864.
Vingt ans plus tard, ils le dotent d'un superbe palais (l'actuel musée de l'impression sur étoffes) où salons et expositions permettent aux mulhousiens de découvrir les grands peintres académiques. Gravement sinistrée en 1940, la collection est remontée trente ans plus tard dans l'ancienne maison Steinbach où l'on peut la découvrir aujourd'hui."
Ou peut-être, et c'est aussi une hypothèse, que ce tableau aurait été volé durant des temps troublés quels qu'ils soient...à suivre...
Selon Mathieu Roy :
"Le bombardement sur Mulhouse se déroula de 15h45 à 15h50 le 11 Mai 1944 et toucha les axes ferroviaires, le canal Rhône au Rhin, la Poste centrale, l'hôpital, la gare du centre-ville, le centre ville, les ateliers de réparation ferroviaire et la gare de Wanne et, pour finir, l'île Napoléon".
Selon le site Musée historique de Mulhouse :
"Le musée des beaux-arts est un rêve que caressent les industriels mulhousiens, à la recherche de bons modèles pour leurs dessinateurs, pendant tout le XIXe siècle. Ils en posent les fondements en 1864.
Vingt ans plus tard, ils le dotent d'un superbe palais (l'actuel musée de l'impression sur étoffes) où salons et expositions permettent aux mulhousiens de découvrir les grands peintres académiques. Gravement sinistrée en 1940, la collection est remontée trente ans plus tard dans l'ancienne maison Steinbach où l'on peut la découvrir aujourd'hui."
Description d'un Salon
> Alfred Auteroche a participé deux fois au Salon des Beaux arts ; la première en 1865 avec un tableau intitulé "Le sentier des ânes" puis en 1872 avec "Animaux en pâturage". En 1867, les frères Goncourt évoquent l'ouverture d'un salon :
" Un grand jour que le jour d'ouverture d'un salon ! Trois mille peintres, sculpteurs, graveurs, architectes l'on attendu sans dormir, dans l'anxiété de savoir ou l'on a placé leurs œuvres, et l'impatience d'écouter ce que ce public de première représentation va en dire. Médailles, décorations, succès, commandes, achats du gouvernement, gloire bruyante du feuilleton, leur avenir, tout est là, derrière ces portes encore fermées de l'exposition. Et les portes à peine ouvertes, tous se précipitent.
C'est une foule, une mêlée. Ce sont des artistes en bande, en famille, en tribu ; des artistes gradés donnant le bras à des épouses qui ont des cheveux en coques, des artistes avec des maitresses à mitaines noires ; des chevelus arriérés, des élèves de Nature coiffés d'un feutre pointu ; puis des hommes du monde qui veulent "se tenir au courant" ; des femmes de la société frottées à des connaissances artistiques, et qui ont un peu dans leur vie effleuré le pastel ou l'aquarelle ; des bourgeois venant se voir dans leurs portraits et recueillir ce que les passants jettent à leur figure ; de vieux messieurs qui regardent les nudités avec une lorgnette de spectacle en ivoire ; des vieilles faiseuses de copies, à la robe tragique et qu'on dirait taillée dans la mise-bas de mademoiselle Duchesnois, s'arrêtant, le pince-nez au nez, à passer la revue des torses d'homme qu'elles critiquent avec des mots d'anatomie. Du monde de tous les mondes : des mères d'artistes, attendries devant le tableau filial avec des larmoiements de portières ; des actrices fringantes, curieuses de voir des marquises en peintures ; des refusés hérissés, allumés, sabrant tout ce qu'ils voient avec le verbe bref et des jugements féroces ; des frères de la Doctrine chrétienne, venus pour admirer les paysages d'un gamin auquel ils ont appris à lire ; et ça et là, au milieu de tous, coupant le flot, la marche familière et l'air d'être chez elles, les modèles allant aux tableaux, aux statues où elles retrouvent leur corps, et disant tout haut : "Tiens ! Me voilà !" à l'oreille d'une amie pour que tout le monde entende..."
" Un grand jour que le jour d'ouverture d'un salon ! Trois mille peintres, sculpteurs, graveurs, architectes l'on attendu sans dormir, dans l'anxiété de savoir ou l'on a placé leurs œuvres, et l'impatience d'écouter ce que ce public de première représentation va en dire. Médailles, décorations, succès, commandes, achats du gouvernement, gloire bruyante du feuilleton, leur avenir, tout est là, derrière ces portes encore fermées de l'exposition. Et les portes à peine ouvertes, tous se précipitent.
C'est une foule, une mêlée. Ce sont des artistes en bande, en famille, en tribu ; des artistes gradés donnant le bras à des épouses qui ont des cheveux en coques, des artistes avec des maitresses à mitaines noires ; des chevelus arriérés, des élèves de Nature coiffés d'un feutre pointu ; puis des hommes du monde qui veulent "se tenir au courant" ; des femmes de la société frottées à des connaissances artistiques, et qui ont un peu dans leur vie effleuré le pastel ou l'aquarelle ; des bourgeois venant se voir dans leurs portraits et recueillir ce que les passants jettent à leur figure ; de vieux messieurs qui regardent les nudités avec une lorgnette de spectacle en ivoire ; des vieilles faiseuses de copies, à la robe tragique et qu'on dirait taillée dans la mise-bas de mademoiselle Duchesnois, s'arrêtant, le pince-nez au nez, à passer la revue des torses d'homme qu'elles critiquent avec des mots d'anatomie. Du monde de tous les mondes : des mères d'artistes, attendries devant le tableau filial avec des larmoiements de portières ; des actrices fringantes, curieuses de voir des marquises en peintures ; des refusés hérissés, allumés, sabrant tout ce qu'ils voient avec le verbe bref et des jugements féroces ; des frères de la Doctrine chrétienne, venus pour admirer les paysages d'un gamin auquel ils ont appris à lire ; et ça et là, au milieu de tous, coupant le flot, la marche familière et l'air d'être chez elles, les modèles allant aux tableaux, aux statues où elles retrouvent leur corps, et disant tout haut : "Tiens ! Me voilà !" à l'oreille d'une amie pour que tout le monde entende..."
Extrait de "Manette Salomon" de Jules et Edmond de Goncourt,
1867, Librairie Nouvelle.
1867, Librairie Nouvelle.
dimanche 2 novembre 2008
Biographie sommaire
Alfred Auteroche est un peintre paysagiste et animalier. Elève de Cogniet et Brascassat, il a exposé au salon des beaux-arts de 1865 et 1872. Durant la commune de Paris, il rédige un "carnet" fait de croquis qui se trouve actuellement aux Archives Départementales des Hauts-de-Seine.
> N'en sachant pas plus, je remercie toute personne qui pourrait me fournir des informations supplémentaires sur sa vie et son œuvre (photos de tableaux, éléments biographiques...).
> N'en sachant pas plus, je remercie toute personne qui pourrait me fournir des informations supplémentaires sur sa vie et son œuvre (photos de tableaux, éléments biographiques...).
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