> Aujourd'hui, mercredi 19 Novembre 2008 sort sur les écrans : "Musée haut musée bas", une comédie.
Je n'ai pas encore vu ce film mais cette sortie m'a permis de savoir que la fréquentation des musées augmentait (18% de hausse cette année). Je me pose alors la question : "Pourquoi cette hausse et que reflète-t-elle ?" Plusieurs réponses bien évidemment sont possibles et nous mettrons pèle-mêle : expositions temporaires attractives et très médiatisées, passage obligé culturel, vieillissement de la population, programmes télévisés affligeants (nous ne citerons pour exemple que cette émission dédiée au théâtre sur France 2, animée par monsieur Ruquier, qui n'était qu'un grand moment de publicité mais qui nous a permis, malgré tout, d'entendre Monsieur Michel Bouquet faire une sortie merveilleuse d'intelligence au sujet du "stand up" : " C'est l'auteur qui vient sur scène à la place de l'acteur" et de voir un Fabrice Luchini toujours enthousiasmant puisqu'enthousiasmé) ; et si depuis quelque temps, l'être humain était simplement saturer de toutes ces images mouvantes sur écran et que la vraie modernité était dans le déplacement de l'individu autour des choses et non pas l'agitation des choses devant l'individu ?
Je n'ai pas encore vu ce film mais cette sortie m'a permis de savoir que la fréquentation des musées augmentait (18% de hausse cette année). Je me pose alors la question : "Pourquoi cette hausse et que reflète-t-elle ?" Plusieurs réponses bien évidemment sont possibles et nous mettrons pèle-mêle : expositions temporaires attractives et très médiatisées, passage obligé culturel, vieillissement de la population, programmes télévisés affligeants (nous ne citerons pour exemple que cette émission dédiée au théâtre sur France 2, animée par monsieur Ruquier, qui n'était qu'un grand moment de publicité mais qui nous a permis, malgré tout, d'entendre Monsieur Michel Bouquet faire une sortie merveilleuse d'intelligence au sujet du "stand up" : " C'est l'auteur qui vient sur scène à la place de l'acteur" et de voir un Fabrice Luchini toujours enthousiasmant puisqu'enthousiasmé) ; et si depuis quelque temps, l'être humain était simplement saturer de toutes ces images mouvantes sur écran et que la vraie modernité était dans le déplacement de l'individu autour des choses et non pas l'agitation des choses devant l'individu ?
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